Cette demande intervient après la décision de Saint-Louis, numéro 2 français du sucre derrière Béghin-Say et filiale à 100% de l'Allemand Sudzucker, numéro un mondial, de réduire de 5%, durant la prochaine récolte de 2005, ses achats de betteraves aux 9 000 des quelque 25 000 planteurs français de betteraves avec lesquels cette société est engagée. |
"Si Saint-Louis Sucre peut diminuer ses achats de betteraves (...) tout en continuant à produire la même quantité de sucre (...), cela n'est possible que grâce au sucre contenu dans la partie haute de la betterave appelée collet, qui n'est pas payée (aux producteurs, ndlr)", affirme la CGB dans un communiqué. |