"Je viens de demander au parquet de Saint-Gaudens (Haute-Garonne), en tant que partie civile, de poursuivre la Direction générale de l'alimentation, qui a délivré le 26 janvier à la société BASF une autorisation qui n'est pas qualifiée juridiquement, établie sur le fondement d'une loi du 2 novembre 1943 abrogée depuis plusieurs années", a déclaré Philippe de Villiers. "Il s'agit d'une autorisation fantaisiste, censée être une régularisation concernant le Régent", a-t-il ajouté. |
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