« Cette union répond aux nouveaux enjeux d'une mise en marché, qui doit être encore plus compétitive, et d'une bonne coordination des coopératives céréalières de Bourgogne Franche-Comté », explique Roger Gaillard, président de Dijon céréales. La liaison fluviale Saône-Rhône et les installations portuaires de Fos-sur-Mer offrent au futur terminal et aux céréales bourguignonnes une opportunité de débouché sur le bassin méditerranéen. L'installation sera opérationnelle pour la moisson 2004 et devrait traiter 150 000 tonnes de céréales en attendant, probablement, de doubler sa capacité d'ici deux ans. |
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