Dans ce document daté du 4 juin et signé du directeur des Affaires criminelles et des grâces Jean-Claude Marin, la Chancellerie écrit que "l'exposition médiatique de ces opérations impose que la réponse judiciaire soit exemplaire afin de ne pas provoquer l'incompréhension de la population". Comme l'écrit la journal Le Monde, qui révèle l'information, la Chancellerie demande par conséquent que les auteurs "soient poursuivis et punis avec fermeté, en tenant compte de leur personnalité, suivant les voies du traitement en temps réel, sous les qualifications pénales les plus adaptées". |
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