Dans son ordonnance, le tribunal, statuant en référé, justifie sa décision notamment par le "risque existant de dissémination génétique et de pollution par les produits phytosanitaires" sur les exploitations agricoles affectées à l'agriculture biologique. Selon Me Corinne Lepage, avocate de M. Bedel, "cette décision confirme deux précédents jugements, concernant les communes de Coings (Indre-et-Loire) et Mouchan (Gers)", qui elles aussi avaient pris des arrêtés municipaux interdisant les cultures d'organismes génétiquement modifiés. |
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