Lors de l'audience, l'avocat de l'Association pour la protection des animaux sauvages (Aspas), Me Benoît Candon, a estimé que "cette mesure extrême (...) mettrait en péril" une population "extrêmement fragile", rappelant que le loup est une espèce "protégée au niveau national, européen et international". Le ministre de l'Ecologie Serge Lepeltier a autorisé le 19 juillet, à titre exceptionnel et sous conditions, l'abattage de quatre spécimens d'ici la fin 2004 afin de limiter localement la pression du loup sur les troupeaux. |
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