La filière des palmipèdes gras est "déjà fragilisée par deux années de surproduction et par la flambée récente du cours des aliments", a souligné M. Emmanuelli. Pour le président du Conseil général des Landes, "cette décision apparaît comme une mesure de rétorsion à l'égard de notre pays plutôt que comme une mesure sanitaire". |
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