"Les débordements les plus significatifs ont été observés sur des affluents de la Saône (Yveron, Azergues, Seille) ou de la Loire", indique le ministre dans un communiqué. "Ces précipitations apportent un répit bienvenu pour les cultures et ont permis une hausse des débits des cours d'eau, y compris dans certaines régions non touchées par les inondations comme en Poitou-Charentes" (région particulièrement menavée par la sécheresse, ndlr), estime-t-il. "Elles ne permettent toutefois pas encore d'écarter tout risque de sécheresse pour les semaines à venir car le niveau des nappes d'eau souterraine reste globalement bas", conclut M. Lepeltier.
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