Ce départ s'inscrit dans un contexte de « libéralisation programmée du dispositif génétique français », et d'« évolution du droit communautaire en matière de reconnaissance des livres généalogiques », indiquent les unités de sélection, via un communiqué de leur union nationale l'Unceia. Elles se réfèrent également à « l’évolution du droit de la concurrence ».
Certes. Mais l'Unceia cite aussi « les différents échecs de la refondation de l’Upra Prim’holstein pourtant promue notamment par le ministère chargé de l’agriculture et par divers audits ». Les unités de sélection dressent « le constat de l’impossibilité de conduire ensemble des projets dans l’intérêt collectif des éleveurs ».
Du côté de l'Upra, Patrick Cabon, un éleveur administrateur interrogé par un journaliste de Web-agri affirme que « le retrait des CIA de l'Upra n'est pas un drame ».
Pour plus d'informations à ce sujet, voir la page génétique de Web-agri en cliquant ICI ; lien direct vers le communiqué de l'Unceia en cliquant ICI ; réaction de Patrick Cabon en cliquant ICI.