Maurice Barbezant, directeur de l’Union nationale des coopératives agricoles d’élevage et d’insémination animale (Unceia) justifie notamment cette décision par « la libéralisation programmée du dispositif génétique français dans le projet de loi d’orientation agricole, affectant tous les acteurs gérant un monopole, telles que les Upra ».
« Nous souhaitons créer un nouvel organisme de sélection plus conforme à la situation du moment » explique-t-il. Selon lui, le retrait condamnera certainement à moyen terme l’existence de l’Upra dans sa forme actuelle.
|