Elle serait également inférieure de 6 % à la moyenne quinquennale 2000-2004. En effet, les semis de maïs ont démarré dans un contexte de déficit hydrologique, incitant certains exploitants à modifier leurs assolements au profit de cultures moins exigeantes en eau comme le tournesol.
Les baisses les plus marquées concerneraient en effet la Bretagne (-19 %), le Poitou-Charentes (-15 %) et les Pays de la Loire (-12 %), où les précipitations ont été particulièrement faibles cet hiver.