Le texte est non contraignant et ne comprend aucun calendrier. Les domaines de l'accord vont d'un charbon propre à l'énergie nucléaire civile en passant par l'énergie éolienne et solaire. Les six pays entendent créer " un contexte favorable pour le développement, la diffusion, le déploiement et le transfert de pratiques et technologies rentables et plus propres, existantes ou à venir ".
Les pays signataires assurent que ce texte ne vise pas à remplacer le protocole de Kyoto (que les États-Unis ont rejeté et qui est entré en vigueur cette année), mais à le " compléter ". Les signataires représentent près de 50% des émissions de gaz à effets de serre dans le monde.