La première information judiciaire concerne la destruction de deux parcelles de maïs génétiquement modifié à Issoire et au Broc, dans la nuit de lundi à mardi, revendiquée le lendemain par le Collectif des faucheurs volontaires. La seconde porte sur la destruction d'une autre parcelle à Neschers, mardi après-midi. "Il s'agit probablement du même groupuscule qui a profité de ce que les gendarmes étaient occupés à Issoire et au Broc", a-t-on indiqué de source judiciaire.
Un premier essai d'OGM, mené comme les trois suivants par le laboratoire de Clermont-Ferrand Meristem Therapeutics dans le cadre de recherches pour la production de médicaments, avait été détruit dans la nuit 18 au 19 juillet à Beaulieu (Puy-de-Dôme).