Si les champagnes affichent toujours de bons résultats et les spiritueux une bonne progression en valeur, «la situation est par contre toujours très préoccupante pour les vins tranquilles qui régressent en volume de 6,2% par rapport au premier semestre 2004 et en valeur de 10% à 1,6 milliard d’euros».
Les vins de table et vins de pays ne sont pas mieux positionnés, en chute de 10,9% en volume et de 13,5% en valeur.