Un communiqué signé d'un "collectif stop OGM" indiquant avoir "neutralisé" la parcelle a été reçu vendredi par différentes rédactions. "Les OGM ne présentent pas d'intérêts notables au niveau agricole, sinon remplir les poches des multinationales et de leurs actionnaires et rendre dépendants les agriculteurs de ces derniers", explique notamment ce collectif jusqu'alors inconnu.
Le propriétaire de champ, Jean Rives, a indiqué que ce maïs expérimental, cultivé pour le compte de la société Monsanto, était destiné à l'étude de la résistance à deux types d'insectes. L'agriculteur et la société Monsanto envisagent de porter plainte.