Tereos-SDHF représentera 40 % du marché français et deviendra le deuxième groupe sucrier européen. Pour Gérard Clay, les avantages de la fusion sont multiples : un complément géographique intéressant tant au niveau des implantations en France qu’à l’international, une hausse substantielle de revenu (300 euros/ha de complément de revenu), un poids sur le marché sucrier et enfin des perspectives de développement, notamment dans l’éthanol avec le projet de Lillebonne (Seine-Maritime). "Nous serons plus forts ensemble", insiste-t-il. "Attention ! Il n’est pas question de fermer la sucrerie d’Attin (Pas-de-Calais), rassure-t-il. Cette usine sera utile dans la perspective de développement du débouché éthanol".
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