"Il est symptomatique que le point principal soit de mettre les agriculteurs en vacances une partie de l'année et une autre partie de l'année de les mettre sous perfusion", écrit M. de Villiers dans un communiqué. "La loi entérine les sinistres décisions de l'OMC (Organisation mondiale du commerce) et de la commission de Bruxelles qui ont transformé le statut des agriculteurs en abandonnant les principes de la préférence européenne", ajoute-t-il. M. de Villiers réclame "une nouvelle négociation pour un nouveau marché commun agricole".
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