Pour cela, l’Interprofession française des fruits et légumes, la section nationale de l’échalote et des associations régionales ont choisi d’organiser un test culinaire comparatif auquel était conviés députés et hauts fonctionnaires européens. Objectif : mettre en évidence un " vide juridique lourd de conséquences " pour le secteur et source de confusion pour le consommateur. La Cour de justice européenne doit en effet rendre avant la fin de l’année un avis demandé par le Conseil d’État français, après la saisine de sociétés néerlandaises de commercialisation de semences de semis, réclamant l’abrogation de la réglementation française qui réserve la dénomination d'"échalotes " aux seuls produits issus de la multiplication végétative (à partir de bulbes).
Partager