"C'est une affaire qu'il faut prendre au sérieux", a indiqué le Premier ministre sur Europe 1, affirmant que l'Union européenne était "tout à fait mobilisée". Il a précisé qu'il y avait "un plan de prévention", qui "prend en compte tous les médicaments", et "une organisation qui va avec et qui, en fonction de l'élévation du risque, comme cela existe pour les catastrophes naturelles, déclenchera à chaque fois des interventions". "Nous sommes dans la première alerte, nous avons à l'échelle européenne interdit l'importation de volailles", "pris des protections pour nos élevages, renforcé la surveillance des oiseaux migrateurs", a noté le Premier ministre. Il a indiqué encore qu'il n'était pas question "à ce stade" d'enfermer les poulets", et de "céder à la panique".
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