Les analyses effectuées sur les faisans abattus le 17 octobre ont confirmé qu'il s'agissait d'une souche virulente de la maladie, a précisé la préfecture. Cette maladie virale, spécifique aux volailles, ne présente aucun risque pour la santé humaine. Elle se traduit chez les oiseaux par l'apparition de troubles digestifs, respiratoires et nerveux, et une élévation de la mortalité dans les élevages atteints. Après la déclaration de suspicion de la maladie, les autorités avaient fait procéder le 17 octobre à l'abattage des 1.200 volailles encore vivantes (300 avaient été tuées par la maladie) de l'élevage destinées à la chasse. Les élevages de volaille et de gibier situés dans un rayon de 10 km ont été visités, sans découverte d'un autre foyer. Ils vont rester soumis à un contrôle vétérinaire pour vérifier que la maladie est restée circonscrite à cet élevage de faisans. Un autre foyer de la maladie de Newcastle avait été découvert fin juillet dans un élevage de faisans et de perdrix de Loire-Atlantique.
Partager
