"La contamination a été détectée avant la production d'oeufs", précise dans un communiqué la préfecture, qui ajoute que ces analyses ont été pratiquées par le Laboratoire d'analyses vétérinaires et biologiques (LAVB) du Puy-de-Dôme ainsi que par l'Agence française de sécurité sanitaire des aliments (AFSSA). Les éleveurs, qui sont soumis à l'obligation d'effectuer des contrôles bactériologiques, sont indemnisés en cas d'abattage. "Cette opération classique de prophylaxie sanitaire n'a bien évidemment rien à voir avec les risques de grippe aviaire", souligne la préfecture dans son communiqué.
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