Elles concernent pour le moment 7 220 tonnes de blé dans la région Centre et 5 100 tonnes d’orge dans la région Champagnes-Ardennes. " Ces offres restent limitées, comparées aux trois millions de tonnes de céréales présentées à l’intervention par nos voisins européens. Mais elles constituent un premier signal d’alarme, a commenté Bruno Hot, directeur général de l’Onic. Il insiste sur le fait que la Commission doit veiller à ce que les volumes adjugés à l’exportation soient suffisants, car les coûts de stockage sont bien plus pénalisants pour le budget européen que les restitutions aujourd’hui nécessaires pour exporter sur le marché mondial.
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