Le syndicat, qui s’est vu récemment prélever plus de 18 000 euros sur ses comptes par la multinationale (sur les 196 000 euros que doit la Confédération suite à sa condamnation) entend mener une véritable politique de boycott vis-à-vis des produits Monsanto. " Ce genre de choses galvanise les troupes " indiquait le porte-parole Gérard Durand, qui trouve " étonnant " que Monsanto agisse " au moment où est en train de se décider une loi sur la coexistence OGM/non-OGM ". Les arrachages de plants par le syndicat continueront-ils pour autant ? " Nous attendons de voir l’issue du projet de loi et si il y aura un moratoire de 3 à 5 ans, comme nous le demandons, avant de nous décider ", précisait Régis Hochart, également porte-parole.
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