Ce dossier stigmatise principalement la présence de substances phytosanitaires interdites. «Notre principal constat n’est pas le dépassement de limites, mais la présence de produits non autorisés», avertit l’article présentant les résultats des analyses réalisées par le mensuel.
Ainsi, son laboratoire a détecté des traces de fénitrothion sur des concombres (non autorisé sur ce légume), de la vinchlozoline (anti-moisisssure) sur des carottes pourtant interdite depuis 2001, du phosmet (insecticide) sur les pêches alors qu’il n’est autorisé que sur les poires et les pommes.