De plus en plus de coopération à l’étranger

À la fin des années 1990, il s’agissait surtout pour la France d’inciter des pays comme la Chine à adopter les indications géographiques pour faire valoir ce concept dans les instances internationales comme l’OMC et de contrôler les copies et les usurpations. Mais depuis trois ans, de nombreux pays sont demandeurs de l’expertise de l’Inao pour développer les appellations d’origine, selon Philippe Mauguin, directeur de l’institut. La Chine a déjà adopté plus d’une centaine d’appellations, qui vont de l’alcool de riz au thé vert. Une demi-douzaine de pays d’Afrique de l’Ouest sont en démarche de repérage de produits, de demandes de protection à l’Organisation africaine de la protection intellectuelle et de l’Ompi (au niveau mondial). À terme, il sera sans doute plus facile de gagner devant des tribunaux étrangers pour usurpation de produits dans leur propre pays, précise Philippe Mauguin.

Partager
Inscription à notre newsletter

NEWSLETTERS

Newsletters

Soyez informé de toute l'actualité de votre secteur en vous inscrivant gratuitement à nos newsletters

MATÉRIELS D'OCCASIONS

Terre-net Occasions

Plusieurs milliers d'annonces de matériels agricoles d'occasion

OFFRES D'EMPLOIS

Jobagri

Trouvez un emploi, recrutez, formez vous : retrouvez toutes les offres de la filière agricole