Elles devraient ainsi se situer à 1,461 million d’hectares. La plus forte baisse est attendue en Poitou-Charentes, avec un recul de 25 %, ce qui conduira à une diminution de 50 % sur deux ans. La filière attend un recul de 15 % en Bourgogne-Franche Comté et Midi-Pyrénées, et de 10 % dans le Centre et en Ile-de-France.
Dans les régions traditionnelles du maïs, les agriculteurs n’ont pas prévu de réduire autant leur emblavement en maïs grain : il ne devrait diminuer que de 5 % en Aquitaine et être stable en Alsace. Les surfaces de maïs grain sont aussi attendues en recul dans l’Union européenne. Selon les différentes sources, cette baisse serait de l’ordre de 2,5 % à 4 %, pour se situer à 5,84 millions d’hectares. C’est la France et l’Espagne qui devraient connaître le plus fort recul, alors que la Hongrie et l’Italie devraient maintenir leurs surfaces.
