L'entreprise, qui emploie selon la saison de 40 à 60 salariés, a également indiqué qu'elle ne fera pas appel de la décision rendue en début de semaine par le tribunal administratif de Nice, qui juge illégale l'occupation par le restaurant du domaine public maritime naturel. Le jugement accorde à McDonald's un délai de deux mois à compter de la notification de la décision "sous astreinte de 5.000 euros par jour de retard" pour "évacuer hors du domaine public maritime les matériaux issus de la démolition, y compris les fondations".
La justice avait été saisie par un commerçant voisin de l'établissement, puis par la préfecture des Alpes-Maritimes, convaincus de l'illégalité de la présence du fast-food ouvert depuis 1996 après avoir bénéficié d'un permis de construire accordé par la municipalité.