Selon le directeur départemental des services vétérinaires, Jean Lessirard, cette démarche est prévue lorsque les résultats d'une première autopsie, effectuée au laboratoire départemental d'analyses (LDA) situé à Marseille, laissent planer un doute sur l'origine de la mort des oiseaux. Ce n'est qu'au terme de cette seconde étape que les échantillons sont ensuite éventuellement transmis au laboratoire de Ploufragan (Côtes d'Armor) pour le séquençage du virus et déterminer sa proximité avec le virus asiatique du H5N1, a indiqué M. Lessirard.
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