"Est-ce que l'UE devra bouger sur les produits sensibles? Ma réponse est oui", a lancé M. Lamy devant la commission du Commerce international du Parlement européen. "Les négociateurs européens savent que l'offre agricole du 28 octobre dernier devra être améliorée pour parvenir à un accord", a ajouté le directeur général. L'Union européenne veut se réserver la possibilité de classer en "produits sensibles" 8% de ses lignes tarifaires agricoles, ce qui leur permettrait de rester protégés par des tarifs douaniers plus élevés. Selon une source européenne, le Brésil a indiqué mercredi à Genève que les produits sensibles devraient varier dans une fourchette de 1 à 4% des lignes tarifaires.
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