L'auteur de cette proposition de loi note que « de nombreuses études scientifiques soulignent le bienfait pour la santé de la consommation de fruits et de légumes », et que néanmoins ils sont « peu présents dans l'alimentation quotidienne des Français ». Il estime que la réduction de 5,5 % à 2,1 % de la TVA sur les fruits et légumes permettrait d'atteindre « une baisse significative » de leurs prix, de 10 à 15 %, et de stimuler leur consommation, « notamment par les plus défavorisés ».
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