Parmi les 28 recommandations présentées, trois ont trait directement à la biomasse, dans la ligne droite des premières positions formulées en juillet dernier dans un rapport d’étape : favoriser l’utilisation massive de la biomasse pour une valorisation énergétique, chimique ou en matériaux ; favoriser le stockage du carbone par l’agriculture et la sylviculture ; valoriser les circuits courts etc. Lors des interventions en tribune, Claude Mandil, directeur exécutif de l’Agence Internationale de l’Énergie - une émanation de l’OCDE - s’est déclaré « extrêmement réservé » sur le dossier des biocarburants.
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