Une large majorité d'États membres a soutenu la Hongrie - principal pays affecté par ce projet - estimant qu'il était possible «d'améliorer le système, sans le supprimer», a indiqué le ministre de l'agriculture français Dominique Bussereau. À l’instar de l'Italie et de l'Espagne, plusieurs délégations ont réclamé une abolition progressive de l'intervention d'ici à 2008 et non pas dès 2007 comme l'envisage la commissaire à l’agriculture Mariann Fischer Boel. Celle-ci, résolue à mettre un terme à l'intervention sur le maïs, a «pris note» des craintes émises lors du Conseil agricole. Elle devrait présenter, dans les prochaines semaines aux experts des États membres, une «solution équilibrée».
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