« Des valeurs substantiellement supérieures à 4,5 degrés ne peuvent être exclues », ajoute cependant le document. En 2001, les experts estimaient qu'à ce niveau de concentration de 550 ppm, la hausse moyenne de la température mondiale serait comprise entre 1,5 à 4,5 degrés.
Les climatologues attribuent dans leurs travaux un degré de confiance à chacune de leurs prévisions. La fourchette 2 à 4,5 degrés a « au moins 66 % de chances » d'être atteinte d’ici à 2100. La version définitive du diagnostic du GIEC sera publiée vendredi 2 février.