C’est ce qu’il a fait savoir le 2 février dans un communiqué. Il explique qu’« il est tout à fait essentiel de poursuivre des revendications sectorielles et concrètes sur le prix des produits, l’application de la PAC… » et donc de « construire des rapports de force efficaces pour défendre le sort des paysans et des paysannes ». Ces actions sont, selon le syndicaliste, complémentaires à celles qui défendent une « visée globale, celle d’un ordre social plus équitable, incluant des revendications sociétales, telles que le refus d’OGM, la qualité de l’environnement et des aliments ». Gérard Durand reste membre du comité national de la Confédération paysanne.
Partager