Les planteurs de pommes de terre veulent éviter une concurrence déloyale

« Ce que nous ne pouvons pas accepter c’est de subir de plein fouet les conséquences des réformes d’autres secteurs », (en l’occurrence l’OCM des fruits et légumes, que Bruxelles veut aligner sur le régime des cultures arables, ndlr), a déclaré Patrick Trillon, président de l’UNPT, à Dominique Bussereau. Vouloir simplifier la Pac en mettant toutes les productions sous le régime des DPU peut conduire à « un jeu de dominos, une véritable machine à perdre pour tout le monde », a-t-il commenté. Les producteurs de pommes de terre veulent éviter la concurrence de nouveaux producteurs qui seraient soutenus par des DPU historiques acquis grâce à d’autres productions. Le « plan A », selon M. Trillon, c’est de militer pour le maintien du fameux article 51, qui exclut du bénéfice des DPU les cultures de pommes de terre. Mais « il faut imaginer un plan B », qui consisterait à discuter avec les céréaliers afin que les planteurs historiques de pommes de terre bénéficient eux aussi de DPU.

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