Dans un communiqué intitulé "Lorsque les pays européens interdisent le maïs OGM MON810 (ndlr: du semencier Monsanto), les Midi-Pyrénéens cohabitent avec 14.000 hectares de ce même maïs", l'Uminate demande en outre que "les services de l'Etat contrôlent scrupuleusement les règles imposées à ce type de cultures, notamment le stockage et la commercialisation".
Cette fédération regrette l'autorisation de commercialisation de ce maïs OGM "au moment même où l'Allemagne a pris un arrêté limitant fortement ce type de culture" en s'appuyant sur des recherches montrant que la culture de ce type d'OGM présente des "risques pour le sol mais aussi pour les organismes non ciblés". La fédération Uminate indique par ailleurs qu'elle soutiendra "les agriculteurs qui porteront plainte en cas de contamination".