"Le tiers de la récolte a pu être sauvé sur cette parcelle", "cultivée sous contrat pour le compte de Limagrain, écrit l'entreprise dans un communiqué. Le 28 septembre au matin, quelque trois hectares de maïs OGM avaient été détruits sur cette parcelle entre le départ d'un vigile chargé de la surveiller et l'arrivée de l'agriculteur qui la cultive, avait indiqué le semencier.
Ce champ de 6,5 hectares de maïs Monsanto 810, cultivé pour produire des semences pour le compte de Limagrain, avait été la cible d'un premier saccage, entre le 17 et le 19 septembre, au cours duquel 2,5 hectares de maïs avaient été détruits. Cette destruction avait été revendiquée le 21 septembre par le Collectif des faucheurs volontaires.