"On a été entendus" (José Bové)

"Je reste prudent mais tout ceci va dans le bon sens", a déclaré M. Bové, se disant "encouragé par cette annonce de Jean-Louis Borloo qui fait suite aux propos de Nicolas Sarkozy". "L'examen de ce projet de loi, le premier du Grenelle de l'environnement, prévu en urgence et sans navette était en contradiction avec l'esprit du Grenelle".

José Bové et 15 autres militants ont entamé leur grève de la faim pour réclamer l'activation par la France de la clause de sauvegarde, qui lui permettrait de suspendre la culture du maïs OGM MON810, autorisé par Bruxelles.

La Haute autorité provisoire sur les OGM doit rendre mercredi son avis sur la culture du MON 810, qui convaincra ou non le gouvernement d'activer cette clause. Lors de sa conférence de presse, le président Nicolas Sarkozy avait promis de le faire si des "doutes sérieux" étaient émis par la Haute autorité. "La clause de sauvegarde est la ligne rouge. Nous aurons un avis demain soir. Une chose à la fois", a répondu M. Bové, interrogé sur la suite de son mouvement.

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