Le marché à terme : on en parle beaucoup Plein de questions se posent auxquelles nous allons répondre avec l’expérience de Pascal Van de Weghe, un agriculteur utilisateur. Pour en savoir plus, cliquer ICI. |
Lors de l’habituelle ouverture des débats à la salle, deux voire trois agriculteurs se sont « révoltés » contre les recommandations de certains à inciter à l’utilisation des marchés à terme. Argument évoqué : ils créent la volatilité des marchés, incitent à la spéculation (élément responsable de l’actuelle crise financière) et donc déconnectent le marché physique des réalités.
Pour l’économiste Philippe Chalmin, les marchés à terme ne sont pas seuls responsables de cette volatilité, prenant comme exemple le marché du riz qui connaît des variations importantes et le prix du lait beurre/poudre. L’économiste ajoute : « Même si cela peut être choquant, plus il y a de spéculateurs et plus les marchés à terme sont efficients ».