«L'Ufs est appelée à suppléer les six précédentes structures», explique la nouvelle Union dans un communiqué: l'Afsa, Seproma, Oleosem, Spfgb, Ffsfg, et Fnpsp. Elle représentera une centaine d'entreprises semencières, «grands groupes internationaux, coopératives ou Pme familiales», qui générent un chiffre d'affaires de deux miliards d'euros.
L'Ufs a «pour vocation de réunir et représenter l'ensemble des entreprises semencières françaises, toutes espèces et tous métiers confondus», fait encore savoir le communiqué. L'ensemble des familles d'espèces végétales (maïs, protéagineux, oléagineux, céréales, potagères et fleurs, betteraves, fourragères et gazons) y sont ainsi regroupées, de même que l'ensemble des métiers (obtention, production et mise en marché).