 La recherche va permettre de traiter la maladie avant même qu'elle n'affecte visiblement la culture. (© Terre-net Média) |
En prélevant un morceau de feuille, il est possible de réaliser plusieurs diagnostics pour la parcelle, aussi bien pour les maladies fongiques (septoriose, fusariose, rouille etc.) que pour les différents états de stress de la plante (stress hydrique et azoté, fertilisation PK).
Un principe simple et rapide à mettre en place
L’analyse est basée sur la quantification du champignon au sein de la plante, pour l'analyse des maladies, et sur l’expression de différents gènes qui répondent à certains stress (plus il y a de stress plus le gène concerné est actif.)
Ces tests au champ devraient servir pour un suivi adapté à l’horizon 2012. L’agriculteur pourra alors savoir quelle réponse apporter aux différents aléas des cultures, avant même les premiers symptômes apparents, et même anticiper les dégâts de maladies, sans pour autant traiter en systématique.
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Pour en savoir plus lire Les puces à Adn - L'avenir de la selection |
