 Un anti-oïdium qui ne craint pas les résistances. (© Terre-net Média)
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Nissodium, issu de la recherche d’un des actionnaires japonais de Certis, Nippon Soda, se compose de cyflufénamid, de la nouvelle famille chimique des amidoximes. Il intervient dans la lutte contre oïdium sur blé, orge, seigle, triticale, ainsi que sur graminées porte-graines et légumineuses. «
Les essais ont démontré un niveau élevé de performances, de sélectivité et de régularité, sans risque de résistance croisée à ce jour. »
Nissodium, homologué à 0,25 l/ha, se positionne du stade épi 1 cm au stade un nœud, voire plus tardivement si nécessaire. Il peut s’employer seul, en un ou deux passages selon la pression maladie, ou, en programme, avec d’autres fongicides, à une dose adaptée, entre 0,15 et 0,20 l/ha, selon l’efficacité et les propriétés des matières actives associées.