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La Via Campesina, premier mouvement international d'organisations paysannes, porte la voix de 300 millions de paysans dans le monde.
Des paysans qui luttent au quotidien pour la reconnaissance de la souveraineté alimentaire, des droits des paysannes et paysans, pour l'accès à la terre, les semences paysannes, la biodiversité, la protection des peuples contre le brevetage du vivant, les pratiques d'agriculture durable, la justice climatique et environnementale, les migrations, les femmes, le commerce...
Cet événement sera l'occasion de rencontres et d'échanges avec les élus, citoyens, monde associatif...
La Via Campesina travaille sur différents sujets : la souveraineté alimentaire, la reconnaissance des droits des paysannes et des paysans, l'accès à la terre, l'accès à l'eau, les semences paysannes, la biodiversité sauvage et cultivée, la protection des peuples contre le brevetage du vivant, les pratiques d'agriculture durable, le dérèglement climatique, les migrations, les femmes, le commerce.
C'est un interlocuteur de plus en plus reconnu des institutions internationales comme la Fao (agence des Nations Unies pour l'agriculture et l'alimentation), le Fida (Fonds International de Développement Agricole), l'Onu (Organisation des Nations Unies), le Gfar (Forum Global pour la Recherche Agricole), le Pnud (Programme des Nations Unies pour le Développement).
Les décisions et le plan d'action adoptés lors des Conférences Internationales sont mises en
oeuvre par le comité de coordination international, qui se réunie deux à trois fois par an. Il est constitué de 18 personnes (un homme et une femme par Région de la Via Campesina). Ce comité international s'appuie au quotidien sur des secrétariats régionaux (1 personne salariée par Région) et sur le secrétariat international, aujourd'hui basé en Indonésie.
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