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Chacun y voit son intérêt et tous souhaitent conserver cette culture peu demandeuse en intrants, très bonne tête d'assolement, à l'impact positif sur le bilan azoté, dans la ration, sur la biodiversité, entre autres qualités.
Une partie de la filière craint cependant qu'avec la suppression de l'aide européenne aux fourrages déshydratés ne disparaissent les surfaces et l'outil industriel de déshydratation, et ce, de manière irréversible. Sur le terrain, même si l'inquiétude est présente, les efforts se font en faveur de la continuité.
Alors que les politiques annoncent une agriculture plus verte et déclarent vouloir combattre la dépendance en protéines de l'Europe, l'économie pourrait-elle avoir raison de cette culture grenello-compatible ?
Retrouvez les témoignages des producteurs et éleveurs dans notre dossier spécial luzerne : La luzerne, culture d'intérêt général.
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