Depuis le 21 avril 2002, lorsque, contre toute attente, Jean-Marie Le Pen a battu Lionel Jospin au premier tour de l’élection présidentielle, les instituts de sondage prennent davantage compte de ces marges d’erreur dans l’interprétation des chiffres de leurs sondages.
Ainsi, « quand l’écart entre les intentions de vote en faveur de deux hommes politiques est inférieur à deux ou trois points, il n’est pas possible de dire que l’un est devant l’autre. »
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