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Les précipitations ont en effet été extrêmement réduites sur la prairie canadienne, où il est généralement tombé moins de 100 mm d'eau depuis la fin de l'été.
Réserves hydriques largement réduites
Dans de nombreuses zones, le cumul total n'excède pas les 25 mm depuis le début du mois de novembre 2011, ce qui constitue un record dans de nombreuses localités. Si la situation est encore réversible puisque les semis débuteront dans deux mois, les réserves hydriques sont largement réduites.
Dans ces conditions, une sécheresse printanière pourrait rapidement avoir un impact important sur les productions. La situation devra donc être surveillée de près d'ici les semis chez le premier exportateur mondial de canola, de blé dur et l'un des premiers exportateurs mondiaux de blé.