Le syndicat souhaite ainsi que le parlement « vote une loi garantissant un prix d’achat minimum des produits agricoles » et une autre qui permet « que les paysans ne soient pas livrés pieds et poings liés aux industries agro-alimentaires et à la grande distribution ».
Les douze tirades de l’anaphore reprennent l’ensemble du programme défendu par la CP.
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