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Sur l’ensemble du territoire, les parcelles contrôlées sont ainsi classées en cinq catégories dénommées conditions de culture (très bonnes, bonnes, assez bonnes, mauvaises et très mauvaises) pour calculer l’indicateur Céré’obs qui n'est uatre que le potentiel de rendement. Celui-ci est égal au pourcentage des conditions de culture « bonnes » et « très bonnes ».
Par rapport à la moyenne quinquennale
Si dans une région donnée, les conditions ce cultures sont cette semaine bonnes à 45 %, très bonnes à 15 % et mauvaises 40 %, l’indicateur Céré’obs est alors égal à 60%. Autrement dit, 60% des parcelles auraient un rendement supérieur à la moyenne quinquennale.
La généralisation de ces suivis hebdomadaires enregistrés permet ainsi d’établir des cartes de rendement et de construire des graphiques pour suivre l’évolution des potentiels de production des parcelles examinées, du semis à la récolte.
Mais attention, le nouvel observatoire ne vise pas prévoir les surfaces implantées ni à estimer les rendements des récoltes en cours.
La collecte hebdomadaire des données nécessaires pour apprécier les conditions de culture des parcelles repose sur des observations de terrain réalisées par les Chambres d’Agriculture, des instituts techniques et des organismes stockeurs. En juillet 2012, douze régions participent au réseau d’observation.
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FranceAgriMer: Dernière étape bouclée pour la fusion des offices agricoles Depuis le regroupement, en 2009, de l'Ofimer, l'Office de l'élevage, l'Onigc, l'Oniflhor et l'Onippam au sein de l'office unique FranceAgriMer, ces cinq offices étaient encore visibles sur le net, chacun d'entre eux disposant encore d'un site web dédié. Courant juillet 2012, l'établissement a définitivement entériné la fusion de ses offices originels en supprimant leur site web. Toutes les informations qu'ils contenaient, notamment les dernières cotations de viande bovine, sont désormais regroupées au sein du site de FranceAgriMer: www.franceagrimer.fr |
