Les deux groupes avaient annoncé fin 2011 leur intention d'unir leurs efforts au sein de Genective afin de mettre au point des traits OGM destinés aux semences de maïs.
« Ces traits vont permettre à chacun des deux partenaires de commercialiser des semences de maïs génétiquement modifiées sur la base de leurs propres technologies, répondant ainsi à la demande spécifique des marchés agricoles pour une diversification des origines de traits transgéniques », détaille Vilmorin dans un communiqué.
Les premières commercialisations sont attendues « au plus tôt d'ici trois ans aux États-Unis », ajoute le semencier français.
Le marché des OGM est « en croissance continue » avec 170 millions d'hectares dans le monde en 2012, dont 55 millions d'hectares de maïs, rappellent les deux partenaires.
Ils détiennent déjà depuis 2000 une entreprise commune 50/50 en Amérique du nord (AgReliant), devenu le 3ème opérateur de semences de maïs en Amérique du Nord.