Céréales en recul sur l'Euronext, mais bon développement des cultures

Vers 15h (14hGMT), la tonne de blé chutait de 1,25 euro sur les contrats de janvier et mars 2014, les plus rapprochés se traitant à 207,25 euros et les seconds à 203,25 euros dans un volume d'affaires de moins de 7.040 lots. Le marché du maïs au même moment reculait de 1,50 euro sur ces mêmes positions, la première se traitant à 174,25 euros, tandis que quelque 1.500 lots avaient changé de main.

En Europe, les conditions climatiques se révèlent plutôt bonnes pour le blé d'hiver « ce qui conditionne d'ores et déjà une partie des récoltes de l'été 2014 », note la société Intercourtage, faisant référence à la dernière note de conjoncture sur l'état des cultures de blé d'hiver dans l'Hémisphère Nord de FranceAgriMer. Ce même constat vaut aussi pour les semis d'hiver aux États-Unis, avec des conditions climatiques particulièrement favorables dans les Grandes Plaines céréalières, à l'exception des régions plus méridionales touchées par la sécheresse.

Lundi, le marché américain des grains (Chicago Board of Trade) poursuivait son repli en séance de préouverture, pénalisé par le rejet de Pékin de nouveaux cargos de maïs américain contenant des organismes génétiquement modifiés non autorisés par les autorités chinoises. En Ukraine, les autorités ministérielles prévoient un ralentissement des exportations de céréales en seconde partie de campagne commerciale. A ce jour, les exportations de céréales s'élèvent à 15,9 millions de tonnes, précise Intercourtage.

En France, sur le marché physique (gré à gré) le prix du blé, de l'orge et du maïs reculait de 1 euro dans le sillage de l'Euronext.

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